« Le fleuve Saint-Laurent constitue un joyau unique de notre patrimoine écologique et de la biodiversité, puisqu'on y retrouve plus de 19 espèces de mammifères marins, plus de 230 espèces d'oiseaux, près de 35 espèces d'amphibiens et de reptiles, sans compter les quelque 200 espèces de poissons d'eau douce et d'eau salée."
* Nous avons placé les espèces dans 3 zones différentes : Zone supérieure - Zone médiane - Zone profonde
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Cependant, la plupart des espèces se déplacent dans différentes profondeurs du fleuve. De plus, les algues, oursins... bien qu'ils se retrouvent dans l'onglet " zone profonde ", on peut aussi les retrouver sur le littoral. Ils font partie de la zone profonde, car ils se retrouvent sur la couche de fond du fleuve.
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4. Faune et flore marine du fleuve,
classification.
4.1.1 Mammifères marins
4.1.2 Évolution, chasse
4.1.3 Les reptiles
4.1.4 Les oiseaux marins
4.1.5 Plantes de rivages comestibles
4.2.1 Poisson d’eau douce
4.2.2 Poissons d’eau salée
4.2.3 Développement du poisson
4.2.4 Anatomie d’un poisson
4.2.5 Les requins
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4.3.1 Les algues
4.3.2 Les bryozoaires
4.3.3 Les mollusques
4.3.4 Les crustacés
4.3.5 Les Etoiles de mer
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Le phytoplancton, le zooplancton Bioluminescence
4.5.1 Chaîne alimentaire
4.5.2 Les espèces en péril
4.5.3 Les espèces envahissantes
4.5.4 Espèces disparues
4.5.5 Légendes et montres marins
Strates de l’eau ou résident les espèces
Plonge dans l'océan (en cliquant sur l'image) et découvre la profondeur à laquelle vont les espèces.
Profondeurs océaniques
Bien que nous ayons divisé les différents onglets de ce site en plaçant les espèces par zones, de nombreuses espèces se déplacent dans l'océan entre ces couches que nous définissons.
Zones de l'océan en français
Comment est-ce dans les profondeurs?
Un écosystème comprend un milieu appelé le biotope et les êtres vivants qui le composent est la biocénose. Il comprend également toutes les relations qui peuvent exister et se développer à l'intérieur de ce système.
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On classe les êtres vivants pélagiques selon la profondeur à laquelle ils évoluent :
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La zone épipélagique ou pélagique se situe entre la surface et 200 mètres de profondeur, la lumière y est rapidement absorbée mais reste suffisante pour permettre la photosynthèse et le développement de la vie végétale. La majorité des espèces vivantes et connues de l'océan sont concentrées dans cette zone.
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La zone mésale ou mésopélagique débute à 200 mètres et se termine à 1000 mètres sous la surface. Elle se caractérise par une faible luminosité (plus de 99% des rayons lumineux absorbés), elle est crépusculaire. La photosynthèse y est donc impossible, la flore chlorophylienne ne peut pas s'y développer.
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La zone bathyale ou bathypélagique commence à 1000m et se termine à 4 000m, elle se caractérise par une obscurité absolue. On estime qu'environ 85% des espèces vivant dans ces profondeurs sont luminescentes (c'est à dire que leur organisme produit de la lumière). À partir de cette zone, les animaux sont très différents des espèces de surface, à cause des contraintes extrêmes auxquelles ils doivent s'adapter.
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La zone abyssale ou abyssopélagique s'étend de 4 000m jusqu'aux plaines
abyssales : c’est une vaste étendue de sédiments boueux et vaseux situées
vers 6 000m. Elle est recouverte de sédiments et de limons, provenant de
matières minérales tombant depuis les zones proches de la surface, et de
la décomposition de corps de milliards d'organismes marins accumulés
pendant des millions d'années. Contrairement à ce qu'on pourrait croire,
la biodiversité de la plaine abyssale est aussi riche que celle de la forêt
tropicale.
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La zone hadale va au-delà des plaines abyssales, jusqu'au fond des fosses
océaniques pouvant atteindre jusqu’à 11 000 mètres de profondeur comme
la zone des Mariannes dans l'océan Pacifique. Ce nom dérive de Hadès, le
dieu de la mythologie grecque régnant sur le monde souterrain. Il est ici
bien approprié car ces zones ténébreuses sont en très grande partie
inconnue et très peu d'espèces y sont répertoriées. Cette zone a été très
peu explorée, mais cela va bientôt changer avec les améliorations
technologiques des sous-marins qui peuvent aller de plus en plus profond,
grâce à de nouvelles techniques et par la découverte de nouveaux
matériaux.
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